Les Bourguignons

Avec un peu de retard, en cette nouvelle année, je suis partie à la découverte de mon sosa 2024. A la découverte vraiment, car je ne le connaissais jusqu'ici que par sa mention sur l'acte de mariage de son fils Guillaume, logiquement sosa 1012. 

Il s'appelait Pierre Robelin et vivait à Sens-sur-Seille dans la seconde moitié du 17^ème siècle.

Au cours de ce mois de décembre, j'ai retravaillé mon ascendance maternelle pour écrire un article sur chacune des grands-mères de ma mère. J'ai redécouvert des photos, des nouveaux actes et complété des histoires. J'ai donc eu envie de revenir sur l'histoire tragique de deux des époux des filles d'Émiland Branchet, morts au cours de la Grande Guerre.

Cette jeune demoiselle, de l'âge de mes enfants, est la fille de mon cousin au 3^ème degré. Ce qui, en se reportant à l'arbre de parenté ci-dessous, nous fait 0,391 % d'ADN communs ... pas grand-chose !
C'est pourtant l'une des plus proches dans les cousinages présentés dans cette catégorie, non seulement par le peu de générations qui nous séparent, mais également car mes parents et ses grands-parents étaient et sont encore actuellement très proches.

Ma seconde arrière-grand-mère maternelle; sosa 15, s'appelait Marie-Louise Bonin. Également originaire de Saône-et-Loire, comme la première (voir l'article : Marie-Lucile Branchet, une arrière-grand-mère maternelle), sa famille venait de la Bresse, des environs du bourg de Serley. Elle est née en 1878 et est morte en 1949 à Chalon-sur-Saône, où, comme Marie-Lucile, elle a vécu sa vie de femme mariée.

Honneur aux arrière-grands-mères ce mois-ci sur Facebook dans "De la généalogie à l'écriture".
je vais donc parler ici d'une de mes arrière-grands-mères maternelles, Marie-Lucile Branchet, ma sosa 13.

Gaby Basset, de son vrai nom Marie-Louise Camille Basset, est née à Varennes-Saint-Sauveur le 29 mars 1902. Elle est décédée à Neuilly-sur-Seine le 7 octobre 2001 à l'âge de 99 ans et demi. Elle fut la première épouse de Jean Gabin.

Antoine Louis Gustave Béclère, né le 17 mars 1856 et mort le 24 février 1939 à Paris, est un médecin français, pionnier de la radiologie et de la radiothérapie en France.

Cédric Villani, né le 5 octobre 1973 à Brive-la-Gaillarde (Corrèze), est un mathématicien et homme politique français.

Décidemment, la descendance de Vincent Tisserand (sosa 114) est riche en grands chefs cuisiniers !
Après avoir découvert un cousinage avec Fernand Point, grand chef de la Pyramide de 1925 à 1955, voilà qu'une autre branche nous amène jusqu'à Georges Blanc, grand chef étoilé du restaurant portant son nom, situé à Vonnas en Bresse.

Lorsque le hasard a fait sortir Claudine Tartelin du chapeau, j'étais plutôt contente. Tout d'abord car j'allais enfin prendre le temps de compléter un peu sa famille, qui jusqu'alors se résumait à ses parents, son mari et leur fille Jeanne, également ma sosa. Ensuite parce que j'aime bien le nom de Tartelin, c'est mignon, cela sonne bien !

MAIS ...

Nous voici encore une fois en Saône et Loire à la rencontre de François Roy, père de famille nombreuse et sosa 2032, qui vivait dans le village de Saint-Usuge dans la seconde moitié du 17^ème siècle.

Premier chef en France à obtenir trois étoiles au Michelin en 1933, Fernand Point, ce chef charismatique, père de la « nouvelle cuisine », a fait de la Pyramide de Vienne une étape incontournable sur la route du Midi.

Le hasard du tirage au sort m'a fait tomber pour la lettre N sur un membre de la famille Noirot.
Simon NOIROT, laboureur à Bouhans à la fin du 17^ème siècle.

Pierrette de Louhans (ou Delouhans) est une ancêtre côté bourguignon, faisant partie de la 11^ème génération. Elle vivait dans le village de Mervans dans la seconde moitié du 17^ème siècle.

La lettre D nous entraine une nouvelle fois en Bourgogne, plus précisément à Saint-Gengoux-le-Royal où vivaient fin 17ème siècle un couple de vignerons, Huguette Duvallois et son mari, François Blondeau.

Cette seconde lettre du challenge en est vraiment un, de challenge ! Le hasard a fait sortir du panier Marie Basset, une de mes ancêtres de Saône-et-Loire, plus précisément ma sosa 461 appartenant à la génération 9. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas penchée sur ma branche maternelle et ne suis plus familiarisée ni avec les patronymes, ni les lieux, ni même les archives ! 
Voyons voir si cet article va permettre de la "rhabiller" !

Deux des oncles de mon grand-père maternel Claude Bolusset s'appelaient Agnan. Le grand et le petit, pour les distinguer, surnoms qu'ils ont portés toute leur vie, en tout cas dans la famille. Nés à 16 ans d'intervalle, ils ont vécu tous les deux à Chalon-sur-Saône et dans ses environs. Je ne connaissais pas ce prénom auparavant. Agnan, qui peut être porté aussi bien par un garçon que par une fille, est fêté le 17 novembre. Il viendrait d'Anianust, évêque d'Orléans au cinquième siècle ...

Émile Branchet était mon arrière-grand-oncle, plus précisément l'oncle de mon grand-père maternel. Marié trois fois, il eut une vie bien remplie dont la trace subsiste dans les journaux de l'époque.

En pleine recherche sur mes lointains ancêtres côté maternel, je suis tombée sur un phénomène curieux : CINQ mariages entre frères et soeurs de deux familles. Cette histoire se passe début 18^ème siècle, en Bresse louhannaise, dans les environs de Varennes Saint-Sauveur...

Après avoir lu un article de La Gazette des Ancêtres, intitulé "Comment utiliser la presse ancienne en généalogie", j'ai eu envie de l'appliquer à une personne dont je n'ai pas encore parlé sur ce site, mon grand-père maternel. Les sites Gallica et Retronews m'ont fourni des informations inédites sur sa jeunesse !

Cette semaine, je vais vous parler de Jacques Bolusset. Il est le frère de mon arrière-grand-père maternel, Denis. Tout part d'une carte postale retrouvée dans les vieux papiers de ma grand-mère, écrite pendant la Grande Guerre, où Jacques, mobilisé et en casernement à Besançon, donne de ses nouvelles à ses frères et soeurs ...

Pour cette troisième semaine, c'est mon arrière-arrière grand -père (soit mon sosa 26) qui sera l'objet du billet de ce rendez-vous hebdomadaire. Il se nommait Émiland Branchet et a vécu entre 1855 et 1949 à Chalon sur Saône essentiellement.

Ce sera l'occasion d'utiliser l'outil Canva pour raconter sa vie sous forme d'infographie.

Claude Bolusset est mon sosa 24 donc mon arrière arrière grand-père maternel. Il est né en 1853 et est décédé en 1929. Il était mineur aux mines de Blanzy Montceau. Il sera le premier à étrenner cette série d'articles très courts pour le défis #52 ancestors. Pour connaitre les détails de sa vie, je vous invite à consulter sa page ici.

Je vais essayer de présenter au cours de ces 52 semaines les différents outils dont je me sers pour travailler et mettre en valeur mes données.

Aujourd'hui : le logiciel Studioscrap

2021 vient de se terminer sous le spectre de cette pandémie qui ne semble jamais devoir se finir. Abordons 2022 avec l'optimisme qui prévaut pour le premier jour d'un nouveau cycle ! Un petit billet pour commencer l'année : qui était mon SOSA 2022...

Déjà c'était un homme. En cherchant sur mon logiciel préféré, je tombe sur Charles Gaudard, laboureur à Frangy en Bresse au 17ème siècle. Zut, une branche sur laquelle je n'ai pas trouvé grand-chose. Voyons voir ce que l'on peut en raconter...

En 1930, une lointaire cousine, Jeanne Gauthier, rentrait chez elle lorsqu'elle croisa la route d'un jeune homme, René Henri Mercure, qui lui fit des avances ... La suite est hélas prévisible !

Un de mes ancêtres et deux collatéraux étaient verriers aux Verreries Aupècle à Chalon sur Saône et habitaient rue de la Verrerie. Il s'agit d'Alexandre Goux, mon arrière grand-père, de François Guipont et de Louis Robin. 

Les vieilles photos sont des objets précieux. Il est toujours émouvant de découvrir les visages des anciens. J'ai la chance de posséder de nombreuses photos du côté maternel, datant du début du XXème siècle. Les plus anciennes sont celles de trois arrière-arrière grands-parents, nés entre 1853 et 1857. Je vous laisse découvrir ces visages.

Pour cette lettre K, gros soucis. J'ai beau me creuser la tête, difficile de trouver un thème fédérateur. Je vais donc essayer de trouver les interventions de cette consonne dans ma généalogie, ce qui sera aussi une occasion d'explorer les outils de recherches de Hérédis ! Bon, j'ai pris des libertés avec la locution Késako, pour qu'elle colle à la lettre de l'alphabet mais ... il semble que cette orthographe soit acceptée : D'où vient le mot quésaco.

Pour cette lettre J, j'ai choisi de parler d'un prénom que j'aurais aimé donné à ma fille si je n'avais pas eu que des garçons : Jeanne.

Le prénom Jeanne a rencontré une très grande popularité dès le Moyen Âge. Pendant plusieurs siècles il fût le prénom féminin le plus porté avant d’être détrôné par le prénom Marie. Le prénom Jeanne est la forme féminine du prénom masculin Jean qui est issu lui du prénom hébraïque Yehohanan qui se compose des termes yeho et hanan qu’on peut traduire par “Dieu pardonne”.

Jeanne est une travailleuse acharnée avec une âme de meneuse. Elle fera tout pour n'être dirigée par personne et arriver à devenir sa propre patronne. Elle se fixe constamment des objectifs et fait de son possible pour les atteindre. Toutefois, Jeanne est patiente, elle est consciente que graver les échelons prend du temps alors elle y va progressivement. Jeanne déteste les incertitudes elle a besoin d’un environnement stable où elle se sent aimée et soutenue par ses proches et cela depuis son plus jeune âge. En amour, Jeanne est compliquée. En effet, la personne qui partage sa vie aura du mal à la cerner car Jeanne peut se montrer aussi bien attentionnée et aimante que distante.

Ce matin du 12 décembre 1867, une centaine de mineurs se répartissent dans les galeries du puits Cinq-Sous. A onze heure du matin, une formidable explosion retentit : tous les ouvriers du quartier de la Descenderie, tous ceux du quartier Nord ont été tués. Ce désastre fit 89 morts, 47 blessés, seuls 22 mineurs s'en sont sortis vivants.

Quelques éléments sur les Fondeurs Réunis, où Emiland Branchet ainsi que trois des frères Bolusset (Denis et les deux Agnan) ont travaillé à Chalon-sur-Saône.

Tous les fils de Claude ont participé au conflit de 1914-1918, même le petit Agnan qui n'avait que 19 ans à la déclaration de guerre. Le conflit a relativement épargné les hommes de la famille : tous sont partis ... et tous sont revenus.